lundi 25 février 2008

Première journée à l'école Anne Hébert

Il s'agit d'une école francophone, cela signifie qu'au moins un des parents de chaque élève parle le français, et que tous les enseignements, ainsi que la vie à l'école doit se faire en français.

J'interviens dans une classe de maternelle: ici, il n'y a qu'une année de maternelle, avant c'est le Kindergarten. Marie-Claude, l'enseignante en charge de la classe, s'occupe de 20 élèves de 5 ans.

Dans la pratique, très peu d'élèves parlent français à la maison, et l'objectif ultime de l'école est que les élèves parlent entre eux en français en dehors de la classe.


Il s'agit pour eux d'une première année de scolarisation, c'est pourquoi les activités proposées sont ludiques et l'enseignante fait très attention à alterner les dispositifs et les situations d'apprentissage.

Les élèves travaillent sur la motricité fine (coloriage, découpage, calligraphie, etc.), la reconnaissance de certains mots, la mémorisation de phrases accompagnée d'images, le découpage des mots en syllabes orales.

Voici ce que je retiens de cette première journée. Lorsque je l'aurai analysée un peu plus en détails, je vous parlerai de la pédagogie développée et je prendrai quelques photos de la classe pour vous montrer comment c'est aménagé.

A bientôt

1 commentaire:

Anonyme a dit…

bonjour,
une petite question, ya t'il beaucoup d'écoles bilingues au Canada?, et à Vancouver? des orthophonistes travaillent elles en collaboration avec ces écoles? (le bilinguisme est un facteur qui augmente les difficultés chez les enfants ayant des troubles d'apprentissage ou du langage)
A bientôt.
Caroline